Quand est-ce que tu reviens aux
répets ?
par Stef
Bien très cher Vincent, Baboonskaya, Vincenzo, ou encore ……....
(complète toi-même les pointillés en te donnant
le surnom que tu veux)
Voilà déjà trois ou quatre semaines qu’on ne te
voit plus lors de nos répétitions favorites.
Et c’est déjà beaucoup trop long pour nous. Rien à
faire, une répétition Canal’do sans toi, pour nous, c’est
triste,
on se sent seul, on se sent bête avec nos petites voix fluettes,
sans une belle grosse voix de basse,
c’est à peine si on chante encore juste, ou alors ça
devient presque ennuyant…
bref, à quatre, c’est pas du tout pareil.
Quand est-ce que tu vas donc remettre la main sur ton agenda pour te
rendre compte qu’on a, une fois de plus, répète ce lundi
soir ?
Nous savons que tu aimes beaucoup mener à bien les projets qui
te passionnent et qui te tiennent à cœur.
Nous savons aussi que Canal’do est pour toi un de ces projets-là.
Il suffit de voir comment tu te donnes à fond lors de chacun
de nos concerts, avec des réflexions parfois très courtes,
parfois très longues,
mais chaque fois bien placées que pour faire foirer le début
de la chanson suivante d’un fou rire bien gras…
comment tu as décoré et équipé notre super
local de répète…
comment tu as servi de voix de référence à nos
enregistrements studio… (oui, oui monsieur, c’était bien la voix
la plus dure à placer…)
Par ces quelques lignes, nous voulons te rappeler combien tu es important
pour nous, pour notre groupe,
mais également pour chacun d’entre nous personnellement.
Nous ne savons pas si tu es en train de nous pondre une immense blague
ou pas,
mais si c’est le cas, essaie de nous le faire savoir au plus vite,
car ça commence à être à la limite pas drôle
du tout
et on veut pas du tout que tu t’en ailles voir ailleurs.
Tu nous as déjà conté de belles blagues, mais
ici, soit on est nuls et on a rien compris, soit la blague n’est pas finie,
et alors il nous semble vraiment temps que tu la finisses. Souviens-toi…
les plus courtes sont les meilleures…
Plein de souvenirs nous reviennent à l’esprit et nous convainquent
que tu ne vas pas nous abandonner en si bon chemin :
quand va-t-on revoir notre Baboon avec son caleçon en téflon
blindé, hein ? Oui, mais où ?
Et le coup de la baguette qui se brise sur la pomme de Roxane en plein
concert, hein, qui va pouvoir le faire ?
Et cette terrible basse qui fait vibrer toutes nos chansons, même
après une greffe de trois paires de couilles, un effet pitché
à l’antharès,
ou après une grosse guindaille, personne, à part toi,
ne peut aller gratter si bas… sans parler de ta rigueur rythmique inégalée…
:
l’intro de « Tasse de Café » n’est JAMAIS foireuse,
ou alors c’est qu’elle sentait pas bon. Et puis, est-ce que, finalement,
Q-base ou pas ?
Pour toutes ces petites choses qui, ensemble, donnent quelque chose
de vraiment énorme,
nous t’en supplions, Vincent, reviens parmi nous, tu nous manques beaucoup
trop…
Ne nous réponds pas à la manière d’un autre Vincent
par « Je suis pas contre, hein ! »,
mais plutôt d’un air plus décidé avec « Don’t
stop me now », « Get Back », « Come together »,
…
Cédric, dAX, Lolo et Stéphane
Baby-Sitter Professionnel
par Pascal Boone
Voilà, une nouvelle qui devrait faire du bien à Vincent
: grace à son séjour
à l'hôpital j'ai été baptisé vendredi
passé babysitter professionel !
Objet en question : ma petite Alice dont je suis le fier parrain. Et
elle
m'a donné 'la totale' pour mon baptème - sauf le bain
- mais de toute façon
en mode 'débutant' : désolé pour tous les autres
parents, mais il y a pas de
fille plus sage que notre Alice !
Après les dernières instructions de ses parents, il fallait
simplement
attendre le moment ou elle se reveillait. Un quart plus tard, la main
frottant les yeux, c'était tout de suite le sourire. Un peu
dans le
fauteuil, en rampant par terre et en jouant à cache-cache sous
la table,
c'était sur mon bras qu'elle me montrait ou étaient les
Bambix.
Encore plus tard une petite grimace annoncait une vraie faim. Sous l'oeil
approbateur d'Alice j'ai pu préparer son lait - tout comme je
prépare mes
propres repas d'ailleurs : dans le four à micro-ondes. Le biberon
vite fini
avec des applaudissements du jury - je vous jure !...
Pareil pour la vitesse de digestion par contre. J'espérais encore
que ce
n'était qu'une petite 'proute', mais finalement c'était
un plutôt grand
kaka. Le changement des couches n'était pourtant pas trop difficile
- mais
faut pas garder pampers sous le nez, je sais maintenant. Alice me donnait
ses conseils : petits pleurs quand j'échouais, grand sourire
quand
finalement j'avais réussi ! Et le grand test confirmait
: elle ne perdait
pas son pampers quand je la mettais debout !
Voilà comment je me suis amusé avec la petite Alice. Mais,
Vincent, n'en
faut pas pour autant rester à l'hôpital, 'hè menneke'
!
La jauge d'essence...
par Gaet et Tof
Un petit souvenir, pour faire sourire et redonner de l’énergie...
On parlait hier encore de notre fameux voyage en Bourgogne. Nath avait
pris
le volant pendant que tu te la coulais douce à l'arrière
(à moitié endormi).
Lorsque tu te réveillas c'était pour constater que la
jauge d'essence se
noyait dans le rouge et criait famine. On t'a vu passer par toutes
les
couleurs de l'arc-en-ciel. Nath ne savait plus ou se mettre. Lorsque
la
première pompe à essence apparut, Nath se précipita
à tourner et sortit de
l'autoroute au lieu de prendre la direction de la pompe. Lorsqu'elle
put
enfin remonter sur l'autoroute, la pompe était derrière
nous... Il n'y avait
plus que toi dans la voiture, on était tous sous les sièges...
Allez Vincent, on fait le plein et on repart...
On pense fort à vous tous, courage...
Gaet et Tof
Le coup de la panne
par Aude
Bonjour Vincent!
J'ai vu que Sivilay et Laurent t'on deja parle du coup de la panne avec
Mamy... Et oui, Les parent l'ont emmenee a rocroi, tu te souviens de
Rocroi n'est ce pas? Et bien oui, c'est toujours aussi rustique, et
ils
ont reussi a emmener mamy la bas... Pour couronner le tout, papa avait
bien prepare son coup, il a laisse le contact de la voiture toute la
journee, la radio a tourne... resultat des courses plus de batterie
en
fin de journee!!! Mamy a cru devoir passer la nuit la bas, aie aie
aie!
La plus enervee etait maman: "Mais mamy va croire qu'on fait tout pour
la degouter!!!!!"... Mais non, la bonne humeur a pris le dessus, tout
s'est bien termine et vers 20.30 tout le monde etait de retour.
Voila pour l'anectode du we passe. Sinon pour la maison, les travaux
avancent, et mon invitation pour l'ete tient toujours. Donc accroche
toi, tiens bon, et on se reverra bientot pour un BBQ a Wezembeek, ok?
Gros bisous a tout le monde.
Aude, Greg, Margaux et Romain
Un dernier verre de vin blanc...
par Benoît
Salut Vincent,
Changement de décor, mais les gestes restent les mêmes:
au bureau ou à
la maison, je passe mon temps à cliquer sur cette damnée
souris, à
rafraîchir la page de ce qui est devenu mon site favori (j'ai
toujours
été fan de Canal'do, mais là ça frise l'hystérie).
Si avec ça, je ne me
chope pas une tendinite du poignet et de l'index...; et avec mon médecin
qui doit s'occuper de son grand frère adoré, qu'est-ce
que je vais
devenir?
La journée s'achève, arrosée d'une bonne bouteille
de vin blanc. Ben
oui, à force de trop te côtoyer, c'est ce qui arrive;
ce ne sont pas les
participants à ce forum qui me diront le contraire. Ces
messagers des
quatre coins du monde, parlons-en. Je ne sais pas toi, mais moi,
à les
lire ce soir, ça m'a donné une sacrée pêche.
Où vont-ils chercher tout
ça (à mon avis, chez toi, mais chut...)? Et je me dis
que là c'est pas
possible, si avec tout ça, ça marche pas, j'y comprends
plus rien.
Attends deux secondes, je vais remplir mon verre... Je t'en verserais
bien un, d'autant que Charlotte me laisse finir la bouteille (elle
a
déjà la tête qui tourne), mais je me dis que les
blouses blanches qui
t'entourent ne seraient pas trop d'accord. Raison de plus pour
sortir
de là au plus vite... et venir vider nos réserves autour
d'un bon
barbecue. Parce que là aussi, nos barbecues qui va s'en occuper
(le
barbecue, un truc à ajouter à la liste de Steph) et surtout
les réussir
al dante? Et dire qu'on vient de refaire la terrasse, qu'elle blinque
comme un sou neuf... Bon d'accord, pour l'équipement, on en
est toujours
au Camping gaz, mais je ne demande qu'à prendre des leçons.
Autre problème: Séverin. Un vrai gaillard, chevalier
jaune, conducteur
d'automobiles et de camions en tout genre, le zizi bien dressé
(tout va
bien pour lui, merci)... mais bon: kiséki va lui apprendre les
mauvaises
manières (cf. le petit spirou qui met le doigt dans son nez
- les bd
dans les chiottes, à rajouter sur la liste de Steph)?
Je veux bien le
faire mais je dois garder l'autorité qui sied à un père
quand même. Et
kiséki va lui faire découvrir le monde enchanté
et merveilleux des
Playmobil (là, je manque franchement d'expérience - Playmobil
sur la
liste de Steph)? Voire lui apprendre à piloter sa 1re mob (je
préfère
pas être présent - moto et Le Nouveau Nez sur la liste
de Steph)? Ben
c'est son parrain, pardi; qui d'autre? Et sinon à quoi ça
sert qu'on se
décarcasse à choisir le parrain qui a toutes les qualités/défauts
que
ses parents n'ont pas?
Et je pourrais continuer encore longtemps l'inventaire (les critiques
BD: sans toi, je n'aurais jamais découvert Skydoll, Giacomo,
Jérome
Bloche; je me serais pas réabonné à Spirou, ni
à BoDoï - sauf que moi je
l'ai fait en Belgique, alors que Môssieu a dû se faire
remarquer et
envoyer son bulletin d'abonnement en France - je suis sûr qu'ils
en
rient encore bien, de cette blague belge). Mais on va en laisser
un peu
pour les jours suivants.
En tout cas, c'est sûr, tu es indispensable à nous tous,
et donc il ne
peut rien t'arriver. Je vais me coucher là dessus, non sans
me resservir
un dernier verre, remercier tous les messagers du jour en étant
sûrs de
les retrouver demain, et te remercier toi aussi. Merde Vincent,
on t'aime
Buzz l'éclair à la rescousse!!
Benoît, Charlotte, Ségolène, Mathilde et Séverin
Voyage d'affaires à Bucarest
par notre envoyé spécial Panda.
Mon cher Vincent,
Comme je sais que tu apprécies d’avoir nos rapports de nos plus
belles
visites à l’étranger, voici mon rapport sur Bucarest.
Voyage d’affaires
de trois jours, j’avais la chance d’avoir une après-midi sur
place de
libre. J’ai donc préparé un peu ma visite en demandant
à une collègue
chez Mobistar ce qu’il y avait à visiter dans sa capitale. Réponse
de
cette, pourtant très gentille, collègue : un long silence
puis un mot
qui me laissa de glace : « rien ». Les quelques lignes
qui vont suivre
vont montrer que ceci était en dessous de la vérité.
Arrivé en début d’après-midi, le premier contact
avec le pays est un peu
rude avec la douane. En gros l’étranger semble être très
dangereux, mais
il ne sait pas pourquoi. Après une fouille (si si une fouille),
et un
démarrage obligatoire de mon PC en face d’un douanier qui ne
parle
aucune langue civilisée à qui on doit expliquer ce que
veux dire «
windows », on m’a laissé passer « faute de preuve
».
Ouf, il faut donc maintenant trouver un peu d’argent local au cas où.
Heureuse surprise, l’aéroport n’est pas trop mal ; un peu triste
mais
c’est rien par rapport à la suite, et il y a quelques officines
qui
échangent des Euros en Lei. Je donne 50 euros. Un sentiment
de grande
richesse quand on reçoit des billets énormes avec des
1.000.000 dessus.
J’avais 15 millions en poche, le stress !
En route pour la ville en taxi. L’agressivité des taximens pour
me
prendre à la sortie de l’aéroport me fait reculer ; je
dis non à tout le
monde et je vais chercher un jeune taximan un peu plus loin qui à
l’air
moins agressif. Coup de chance comme j’ai pu le voir plus tard.
A la sortie de l’aéroport je trouve que Bucarest à l’air
d’une ville un
peu triste, tout est gris. On arrive d’une grande route vers des routes
moins bonnes et puis franchement mauvaises. Jamais de lignes pour une
route de 4 à 6 bandes selon l’humeur du conducteur local ; pas
de
ceinture de le taxi, on se sent un peu en danger mais le clown devant
à
l’air de savoir ce qu’il faut faire. Les routes ont soit des trous,
soit
des ornières de neige en dégel. De la boue partout, une
neige qui tombe
en fondant au sol. Mon petit doigt me dit que cela ne va pas être
fun.
La traversée de Bucarest laisse la même impression, tout
est gris. Mais,
au centre, petit modification les avenues sont de plus en plus larges,
les trous dans la route le sont aussi.
Maintenant on rentre dans Ceausescu-town. Des bâtiment énormes
avec
parfois un vieux char à l’abandon on un avion de chasse sans
moteur sont
pour la plupart vides ! Et à côté, une ambassade
avec de très gros
grillages. Grosse ambiance.
J’arrive à l’hôtel où le taximen me demande plus
de deux millions. Cela
me parait énorme et puis en fait c’est rien du tout, j’en donne
3 !
L’hotel est un hotel Ibis, un 3 étoiles à Bucarest avec
un décor année …
pas facile de trouver une année. C’est encore plus triste. Lueur
d’espoir, il y a un bar et un restaurant avec une énorme carte.
Je dépose mes affaire dans une chambre pas très fun, et
je regarde
dehors pour apercevoir une ville sans lumières … sauf à
250m des néons
qui forment un véritable zone de fête : un Mac Donald
!!!
Je descends avec l’idée de prendre un verre et chercher 3 anglais
de ma
société avec qui j’irai visiter Orange Roumanie le lendemain.
Ils sont
au bar, super. Sauf que la discussion ne tourne que sur le boulot ou
sur
l’écosse. Comme ils on un accent écossais très
difficile à comprendre,
je fatigue un peu et la consommation de demi-litres de bières
est
soutenue. Très fun, mon collègue anglais m’apprend que
son taxi a coûté
10 fois plus que pour moi.
On demande au serveur si il y a des restos aux alentours : réponse
«
rien » (une sorte de confirmation). On tente une sortie, mais
pas une
lumière au loin. On se décide à aller manger dans
le restaurant de Ibis.
La carte était très grande mais en gros il n’y avait
que du porc et des
produits dont on a pas trop compris la nature. C’était long,
très long
et insipide. Pour faire mon original, j’ai pris une salade de brie
gratinée et un « spaghetti aux fruit de mers ».
Le brie s’est résume en
3 languettes ridicules noyées dans 2 kilos de tomates en cubes
dans un
file d’huile sans goût. Les anglais étaient morts de rire.
A ce moment
leur entrée est arrivée, et la la surprise : des tripes
dans une sauce
étrange. Ils n’ont jamais osé le manger. Le spaghetti
fruit de mer s’est
finalement révélé être des pâtes sans
goût avec des dizaines de poulpes
très dures. On a continué à boire pour oublier.
Le lendemain, on a du
prendre 2 taxis vu le nombre de personnes. On n’aurait pas eu de
problème à aller à pied car cela se trouvait à
300 mètres. Après avoir
payé 2 Euros à un taximen très énerve d’avoir
fait une course si petite.
Je rentre avec un collègue. Là on a attendu 25 minutes
l’autre taxi qui
a fait 3 fois le tour de la ville pour augmenter la course qui leur
a
coûtée une fortune. Constatation des anglais : le (taximen)
roumain est
roublard. Et à mon avis, ce n’est pas limité aux taxis.
Note positive, la Roumaine est très jolie, et parfois très
très jolie.
Mais, pour ne pas troubler les habitudes du pays, elle tire la gueule
comme tout le monde.
Les bureaux d’Orange Roumanie sont très luxueux. Il faut dire
qu’ils ont
deux étages d’un immeuble où se trouve également
Microsoft, HP, Sun, et
quelques autres gros noms. Après ma visite, j’ai appris que
c’est le
seul immeuble potable du coin. La matinée fut consacrée
à une discussion
technique polie mais glaciale réchauffée par un café
que je peux
qualifier de très mauvais. Ceci se terminait à midi où
les anglais
devaient retourner à l’aéroport. Moi, je pensais que
mes collèges
pourraient venir manger avec moi, mais on s’est tous fait reconduire
poliment à la sortie et au revoir.
Me voici seul dans la ville. Je me décide à aller vers
la place de la
république sorte de « grand place » du coin et où
se trouve « l’avenue
Louise » roumaine. Après une longue marche, il s’avère
qu’il n’y a rien
sauf un palais gigantesque qui était le palais des Ceausescu.
La ville
est pleine de gens qui semblent ne rien faire et je semble être
le seul
touriste en ville. Sur la route, j’ai croisé un marché
local où les
femmes avaient une sorte de fromage blanc solides dans des sceaux de
10
litre à l’air libre. Bonjour les mouches. En plus, cela commence
à ce
voir que je ne suis pas du coin, et il y a des gens qui me regardent
avec un air qui commence à me stresser un petit peu. Glurps.
Je retourne par dépit vers l’hôtel. Mais coup de chance
je me retrouve
sur la route devant le Mac Donald. Et bien, la publicité de
MacDo est
juste : où que l’on soit dans le monde on peut trouver le même
qu’à New
York. Un gros moment de plaisir que de manger un énorme hamburger
qui
semble là-bas d’une qualité et d’un goût exquis.
Je passe sur le reste de l’après-midi qui a été de la même veine.
Le soir, je me suis résigné à manger à l’Ibis
et je commande de ma
chambre un repas. 30 minutes plus tard on me rappelle pour me dire
que
mon repas est prêt. Je dis que l’on peut me l’apporter dans ma
chambre ;
la réponse est non. Je descends donc pour aller chercher mon
repas qui
se trouve sur le comptoir du bar : 2 assiettes, deux bières
et du pain
sans compter les couverts mais pas de plateau. Après 3 voyages
vers le
sixième étage, tout est dans la chambre.
Et bien, en conclusion, si on te propose un voyage en Roumanie, IL FAUT
REFUSER MEME GRATUIT !!!! Et à ceux qui pourraient dire que
j’exagère,
je jure sur la tête de mes enfants que cette ville est encore
plus
triste que ce que j’ai écrit ici.
Finalement le retour en Belgique est fabuleux, le contraste est
incroyable. Les gens on presque l’air gentils. Et alors le luxe!
A oui, j’oublie : un mois après, les roumains d’Orange n’ont
toujours
pas payé le matériel qu’on leur a envoyé. Ils
ne répondent plus aux
emails et au téléphone. J’ai une crainte …
Au plaisir de te retrouver et d’en boire une avec toi,
Panda
Cosy Oenologique
par Guy
Oh ! disciples de Bacchus et du roi Gambrinus.
Salut !
Conviés à une dégustation de vins et à une
petite bouffe chez l'ami Denis,
nous arrivâmes sur le coup des 19h30.
Après avoir débouché , puis goûté
d'excellentes bouteilles, un des convives
proposa de les coter.
La médaille d'Or revint à un Montagne St-Emilion de 2001
, suivi de près
d'un autre St-Emilion de 2000. La médaille de Bronze à
un Pauillac de 1997.
Tout en "babelant" (surtout Olivier) Denis nous mit quelques bons vieux
blues, des vieux machins (Moody Blues)... ainsi qu' un vaste échantillon
de
chansons françaises dont il a le secret ! (Bonjour les amis
de la poésie !)
Vers 22h20 , n'en pouvant plus, Olivier, le gamin néophyte,
réclama une
petite Maes , cuvée 2005.
Se sentant dès lors beaucoup mieux, le Sieur Olivier nous proposa
une balade
irlandaise à l'occasion de la St Patrick , mars 2006 à
Dublin ; ce qui eut
pour effet d'enthousiasmer l'assistance ! (A confirmer !!)
Après l'entrée composée de diverses charcuteries,
le plat consistant : foie
de volaille et sa garniture , vint.... le fromage réclamé
par Rema .
La soirée s'acheva comme elle débuta avec quelques bonnes
bouteilles de
"rrouche", hic !
Nous regrettâmes l'absence de notre batteur fou , Cricri, dit
gueule d'amour
!
On se promit de renouveler plus souvent nos visus dans l'ordre : Olivier,
Rema et Philippe, Rita et Guy sans oublier notre ami Cricri.
A nos agendas !
@+