Vos messages à Nathalie et à sa famille,
dimanche 8 mai
Voir tous les messages : ici.
Vincent, mon cousin, mon frère,
Depuis quelques jours, je ne me suis jamais autant connecté au même site sur
le net, tu es dans mes pensées
de chaque jours. J'arrive pas encore à saisir
ton départ. Est ce la réalité, J'ai besoin de lire ces messages de soutien, seul
devant l'écran,
et de pouvoir en verser une sur le clavier, je me sens alors
plus proche de toi et des autres de notre tribu.
Tu avais perdu ton papa en même temps que moi, et quelque part, je te sentais
comme un grand frère, qqun sur qui
on peut compter lorsque ça va pas. On se
revoyait aux fêtes de famille et chaque fois on te retrouvait pour une bonne
dose de rigolade,
un vrai clown. Merci.
Lorqu'on a perdu maman, et
jusqu'à il y a trois mois pour un oncle, tu étais à nos côtés pour nous épauler.
Je me rappèlle de ton humour dans ces moments là, tu nous redonnais la pêche et
l'envie de tourner la page et de repartir sur les chemins de la vie. Tu nous dis
certainement la même chose aujourd'hui, alors ça m'aide à tenir le choc de ton
départ. Merci.
A la lecture de ces mails qui arrivent de partout, je me rends compte de ce
que l'on peut arriver à donner aux autres dans une vie, c'est formidable,
fallait-il attendre ton départ pour s'en rendre compte ?
Qu'avec ceux
qui t'entoure à présent, tu puisses nous aider, par ton souvenir gravé en chacun
de nous, a nous amener à l'essentiel
dans nos vies trop rapides. On peut
tellement apporter à ceux qui nous entourent au quotidien.
Merci pour ce que tu as été. On va se relever, tous ensemble et continuer à
croquer la vie comme toi...
On se souviendra de toi,
On en reparlera un
jour, autour de ceux qu'on aime...
Alors "Bon vent" à toi,
Olivier
Le réseau d'amis est tellement fort malgré les distances que nous n'avons appris que tardivement la maladie et le décès de Vincent. Les mots sont tellement pauvres.
Nous nous joignons à vous pour cette étape difficile.
Courage à vous car
il doit vous manquer terriblement.
amitiés et sincères condoléances
Philippe Lapiere et famille
Chers Nathalie et les ''petits loups''
En ce moment difficile, nous sommes de tout coeur avec vous.
Nous prions
le Seigneur pour qu'il vous donne la Force de continuer à voguer dans le large
sillage laissé par Vincent...que là où il se trouve à présent, il puisse vous
guider vers l'avenir. Gros bisous de nous tous, courage.
Chers parents,
Perdre un enfant n'est pas normal, cela ne nous semble pas juste...Pourtant
voilà la réalité face à laquelle nous restons impuissants. Dans ces moments
difficilies, nous sommes de tout coeur avec vous et nous prions le Seigneur
qu'il vous donne la Force de continuer à croire que la Mort n'est qu'un Passage,
que pour Dieu le Temps n'a pas le même impact que pour nous humains...
Que
le texte de José Lhoir laissé par Alain ou celui laissé par Eric ''....Au bord
de la plage....'' puisse vous aider à faire face et surtout à soutenir Nathalie
et ses petits loups qui auront bien besoin de votre appui : papy José, mamy
Michèle et mamy Cha...
Fraternellement pour l'Equipe de Cana-Fraternité de
Route-Soignies-Mons Léna & Georges.
Vince, mon pote, mon frère,
C'est seulement maintenant, quatre jours après ta dernière pirouette, que je parviens enfin à utiliser ce clavier baigné de larmes, pour t'envoyer des mots qui cette fois sont les miens, et non plus ceux des autres.
Je voudrais te dire à quel point ton départ précipité nous a pris de court. Mercredi midi, encore, j'aurais parié ma culotte que tu t'en sortirais. Alors même que je relayais tous ces messages qui t'encourageaient, j'étais confiant, optimiste. Mais, comme on l'a déjà lu, tu ne fais rien comme tout le monde.
Je ne vais pas faire ici ton éloge, dire tes qualités, ta joie de vivre, ta bonne humeur communicative. Il suffit de lire tous ces messages pour le comprendre. Aujourd'hui, je suis désolé mon pote, mais tu n'as plus aucun secret pour personne ! Et -- tant pis pour ta modestie -- t'as plutôt bonne presse.
Non, c'est pas ça que je veux faire. Ici, je veux te faire deux promesses.
La première, c'est que ce putain de CD auquel tu tenais tant, sur lequel on bossait depuis six mois avec canal'do, eh ben ce CD on va le finir. Pour toi. Quand je pense que tu m'as appelé le samedi 9 avril pour me dire "C'est bien une leucémie. Merde, comment on va terminer notre CD", je me dis qu'abandoner maintenant serait faire insulte à ta mémoire. Je voulais te dire aussi à quel point j'ai été ému lorsque nous avons chanté près de toi, peu avant ton grand saut, parce que je sais que tu chantais avec nous. Je garderai ce souvenir ancré dans ma mémoire à tout jamais, même si tu as dû te dire "Hé les mecs, qu'est-ce qu'on chante faux!"...
La deuxième, c'est que tu ne dois pas t'en faire pour les tiens. Tu peux dormir sur tes deux oreilles: tant Nath et les enfants, que Mamycha, Catherine et Stéphanie, sont bien entourés. Et continueront de l'être. Tu aurais été fier des tiens, cette semaine, si tu avais vu la force qu'ils ont démontrée. Mais tu aurais aussi été fier de tous tes potes, si tu avais pu voir comment ils se sont occupés des tiens -- mais je suis sûr que tu l'as vu. Et, crois-moi, ça va continuer.
Je t'aime, mon pote.
Wakatepe Baboon...
dax -- ou plutôt, comme tu aimais m'appeler, "Mask"
Baboone,
Depuis plusieurs jours, soir et matin, au réveil et au coucher, la chanson
d’Armstrong trotte dans ma tête, je t’entends, j’entends cette grosse voix que
tout le monde aimait tant, j’entends cette chaleur et cette vie qui sortait
d’elle.
Je n’arrive pas à me dire que ce qui est arrivé fait partie de la
réalité et pourtant tu t’es battu comme un lion…
Je pense encore au jour où nous t’avons demandé de devenir le parrain de notre petit Thomas, au jour où à mon retour de maternité tu es venu voir ton filleul, au jour où je t’ai téléphoné à l’hôpital, tu avais une pêche d’enfer et moi une petite voix suite aux courtes nuits de Thomas, c’est même toi ce jour là qui m’a donné du courage !
Cher Vincent sache que je parle tous les jours de toi à notre Thomas, je veux qu’il sache quel Fameux Parrain tu es.
Toutes mes pensées vont à Félix, Arthur, Nath, Catherine, Stéphanie et Mamycha.
A tout bientôt Baboone !
Elvi
Mon Dieu que c'est injuste.
Pourquoi faut-il que ce soit à un type comme toi que cela arrive ? Comme s'il n'y avait pas assez d'idiots sur terre pour remplir les statistiques !
Voilà des années que nous ne nous étions plus vus. La vie, les parcours nous ont séparés.
Mais la force du souvenir est restée. Ton empreinte gigantesque sur les heures passées à chanter avec Claire-Joie, à rire, à déconner, à vivre tout simplement. En témoigne la vitesse à laquelle tous ces souvenirs me sont revenus, avec une telle précision.
Un énorme coup dans la figure, mais très vite un sourire qui émerge. Le tien...
Je ne les connais pas tous, mais je sais que tes proches garderont de toi le souvenir d'un mari, d'un père, d'un parrain, d'un frère, d'un cousin, d'un oncle, d'un ami formidable. Il ne saurait en avoir été autrement. Quand on est comme toi, un grand vin, on bonifie, encore et toujours. Jusqu'à atteindre des sommets. Ceux depuis lesquels tu innondais les autres, de soleil, de rire, d'amour, d'amitié.
A ton épouse, tes enfants, tes soeurs, ta maman et tous les autres, nous présentons nos condoléances les plus émues, Sandrine mon épouse, notre petite Marie et moi. Nos pensées seront avec vous tous ce mercredi. Que l'hommage soit à la hauteur de ton âme, et que ta force supplante les larmes.
Va Vincent, et continue à donner.
Mon Dieu que c'est injuste.
Christophe GREGOIRE
Nous sommes sûrs que Vincent est devenu un ange gardien, style à " Joséphine". Quelqu'un de si intense ne peut que continuer à vous parler.
Nathalie, préverse toi, tu es si précieuse pour Arthur et Félix.
Nos condoléances à toute la famille.
Margot, Marine, Françoise ,Olivier Gallée
On est consternés et tellement tristes. Jusqu'au bout, on était persuadés
que Vincent y arriverait... Reste un grand vide, on ne trouve pas de
mots...
On dit que la vie nous envoie des épreuves, et que de chaque
épreuve, on
sort grandi; dans chaque épreuve, il sort du "positif" : on voit
la
solidarité qui s'est cristallisée autour de Vincent et de sa famille.
Cette
merveilleuse solidarité, elle coule de source : elle est le fruit de
la
formidable joie de vivre de Vincent, de son souci des autres, de son
sourire. Cette joie de vivre, c'était un cadeau aux autres. Elle ne
s'envole pas avec lui.
Le souvenir, l'image qu'on gardera de Vincent,
c'est celle-ci : le ramassage
à vélo pour l'école. Vincent qui menait sa
petite troupe, un oeil sur la
route, un oeil sur les enfants, une main sur
le guidon et quand même une
main libre pour faire des photos... L'arrivée
triomphale, tout sourire, à
l'école; les enfants (dont deux des nôtres,
Hadrien et Benjamin), fiers
comme Artaban d'être arrivés à bon port, heureux
de partager ce moment...
Vincent, merci pour ça... et pour tout le reste.
On souhaite bonne route à Vincent, on est tous avec lui en pensée.
Nathalie, je pense à toi en ce jour de fête des mamans. Tu as deux petits
bouts formidables, craquants. Tu es ce qu'il y a de plus précieux au monde
pour eux.
Nathalie, Félix, Arthur, nous ne sommes pas loin... (quelques
maisons !)...
s'il y a la moindre chose, petit ou grand service, il ne faut
pas hésiter.
On vous souhaite beaucoup de courage, pour surmonter cette
épreuve et faire
à nouveau des projets. On pense beaucoup à vous.
Patricia Michel et sa famille.
Bonsoir,
Ce soir, j'ai appris une bien triste nouvelle : Vincent Veys
a été gravement
malade et il en est décédé. Incroyable !
Le mail
indiquait le site de Canaldo. J'y suis allée. Et là, j'ai été
émerveillée
(pardon, si le terme choque quelqu'un mais c'est le terme le
plus approprié)
de voir qu'une personne pouvait générer tant de belles
paroles reflétant ce
qu'il a été et ce qu'il restera. Tous ces mots
n'effaceront pas la tristesse
de ses proches, certes, mais leur douleur en
sera quelque peu atténuée, j'en
suis convaincue.
Pour ma part, j'ai connu Vincent il y a un peu moins de
20 ans. Il encadrait
un groupe de jeunes ado (dont je faisais partie) pour
un séjour de rando en
Corse. Depuis, hormis un "bonjour, bonsoir, tu vas
bien ?" lors d'une ou
deux soirées ou mariages, nos chemins ne s'étaient
plus croisés. Je ne me
souviens pas de toutes les personnes qui ont
participé à ce séjour mais il
y'en a une qui a marqué ma mémoire, c'est
Vincent. C'était un roc, "le
costaud". Il avait été malade là-bas, une
sciatique, il me semble. Pas
vraiment pratique lors d'une rando ! Et bien,
jamais, il n'a voulu arrêter,
il mordait sur sa chique et continuait à
avancer sans oublier de nous faire
rire.
Oui, un roc... Il restera
ce roc sur lequel se raccrocheront ses proches
pour surmonter cette terrible
épreuve qu'est l'adieu à un être cher.
Par son amour, sa joie de vivre
et tout ce qui faisait qu'il était Vincent,
il restera dans nos souvenirs et
nos coeurs.
Tenez bon pour lui !
Marjorie & Jean-Michel
Chers Nathalie, Arthur et Félix,
Chers amis, parents de Vincent,
La dynamique de vie autour de Vincent ce dernier mois et la douleur liée à
son départ me rappellent ces mots de José Lhoir:
La vie d'un homme ne commence pas à sa naissance ni à sa conception
biologique.
Elle commence lorsque quelqu'un qui l'aime l'appelle en lui
donnant un nom.
Et la vie d'un homme ne s'arrête pas avec la mort,
elle s'arrête
lorsque plus personne ne l'appelle et ne prononce son nom.
C'est pourquoi la
vie de l'homme ne s'arrête pas avec la mort:
parce que Dieu dit notre nom
au-delà de la mort,
parce que Dieu nous aime au-delà de la mort,
parce
que la mort ne met pas un terme à son amour,
parce que nos noms sont
inscrits sur la paume de ses mains.
L'Ecriture, ce disant, dilate à l'infini, porte à l'incandescence
le
meilleur de nous-mêmes.
La vie au-delà de la mort serait bien suspecte si
nous nous la donnions à
nous-mêmes,
si c'est pour nous-mêmes que nous
l'avions inventée.
Mais nous ne l'avons pas inventée pour nous
parce que la mort nous
ferait peur
ou parce que nous voudrions être immortels.
Nous l'avons
inventée pour les autres,
l'amour l'a inventée pour les autres.
Aimer
quelqu'un c'est lui dire: toi tu ne mourras pas.
Et notre vie après la mort, ce sont ceux qui nous aiment qui nous la
donnent.
Qui voudraient nous la donner
Mais c'est Dieu qui nous la
donne.
Je n'ai aucune preuve de ce que j'avance;
je chante ce que je veux
croire:
une histoire d'amour.
Si nous cessons d'aimer, les morts
cesseront de vivre;
si nous cessons d'aimer, le monde mourra de froid.
La résurrection, la vie après la mort,
oh oui, j'y crois encore,
il me semble seulement que je n'ai pas le droit d'y croire
si mon cœur
n'est pas rempli d'amour.
Voilà Vincent parti tutoyer les étoiles.
Son départ nous décape, tout
départ nous décape,
il nous rappelle l'essentiel.
C'est quoi
l'essentiel?
C'est l'amitié, la tendresse, la misère, la pitié pour l'homme
à terre;
l'amour si évident et si difficile,
le pain et le sel qu'on
partage,
tout cela que Jésus appelait mystérieusement le Royaume.
Je vous souhaite que ce texte vous aide comme il m'aide
Alain
ben voila
je vous renvoye un msg pour partager avec vous la tristesse
je crois que je ne pouvais pas avoir mieux comme parrain
et je suis sure que je fait des jaloux c eatit et sa reste un parain genial
pres a discuter a dire sont opinion par a port a se qui tourne autour de moi
ont se voyais pas souvent m es quand ont se voyais ils me donnais des
conseille
il est genial
je ne peut ajouter quelque chose je me sans comme un bateau
qui a perdu tout
sont equipage et qui continue sa traverser
je pensais souvent a lui premiere photo acrocher dans ma chambre a barcelone
c est lui
parain fait rire tous c est ange
ont pouras te donner le role de l ange
clown souriant je viendrais un jour a
t es representation!!
ont se voye ok
chill parain tien toi bien
a bientot
david