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Vos messages à Nathalie et à sa famille, samedi 7 mai
Voir tous les messages : ici.
 


VINCENT, il était tout simplement extra, un gars à part comme on en
rencontre peu.

La jeunesse, la joie ,l'émotion, l'étonnement, le plaisir, l'amour, la
confiance ...Il était tout ça,
et j'en oublie.

Je partage avec vous, Madame VINCENT, Félix et Arthur, et toute sa
famille, votre profonde douleur.

Soyez courageux, VINCENT est en vous.

Patrick, collègue de Mons, ex-syndicaliste.


Cher Vincent,

Je suis à Licques, et je me délecte en lisant ce florilège de messages d'amour et d'attentions profondes qui te sont adressées ainsi qu'à tes proches, auxquels je me joins à présent.

Je suis donc dans cette maison où nous avons pu connaître ensemble avec les amis quelques soirées parmi les plus mémorables qui soient, de celles qui comptent.

Je sais que tu aimais cet endroit, tu me l'as encore dit lorsque je t'ai rendu visite à l'hôpital il y a deux semaines à peine "millar, qu' cha fé du bin d'parler in mouscronno, et in y r'tounera quin ch sré sur mes 2 pis !"

Tu m'as même dit qu'au matin, tu avais fredonné "Mettez un verre (èèèreuh !) - et sache min frère (èèèèreuh !) - que si te zigzagues quind y fra noir - là où ya d'la bordure ya du trottoir".

Car s'il y a bien une chose que je retiens de toi (parmi les nombreuses exprimées que je rejoins pour la plupart), il y a aussi ton patois chtimi qui résonnait et pouvait chanter si bien à travers ta voix puissante. Et sûr que beaucoup de "wallons" ont pu découvrir joyeusement (avec un étonnement certain au début, mais ça faisait partie du "jeu") ce langage fleuri d'un ptit coin de la Belgique.

Tout ça la faute à quelques vieux vinyles-à-tin-papa-quind-yéto-jeune des capenoules, que tu as pu ressortir des greniers, et dont on a bien vite appris à connaître toutes les paroles par coeur.

Les capenoules ? Bien sûr : "ches solisses, ches chorisses, ches jueux d'ziziques, avec Raoul de Godewarsvelde et sin grind orquesse", qu' yavot écrit sul pochette.

Et nous avons pu les faire revivre lors de nos nombreuses brinques.

Alors hier au soir, quind ch'suis arrivé, j'me suis installé din l'fauteul, j'ai branché la minicassette, et j'écouto tout c'parlage de balochard in pensant bin à tisottes. Yavot bin eune chtite larme qui montot dim min oeul par momints, mé ban, j'em dijos alors que kotché qui puisse arriver, ceull' musique qu't'as donné à nousottes elle s'arrêtra jamais. Et j'pinse bin qu'ch'est eune des plus belles que j'connos.

J'min va à c'teur continuer à canter cha in pensant à ti, même si et'voix rude elle va minquer à tout cha.

Allé l'amisse, j'te fais eune grosse baise et j'te souhaite un ban reste.

Prin nin froid, sois poli avec les gins, et te verra, tout yira fin bénesse.

Benoit Daxhelet


(pour un mec que l'on aime tant)

V ie chaleureuse auprès de lui
I ntimité, c'étaient ses amis
N ul ne peut être aussi doux que...
C et ours toujours aussi fou
E n nous il rira sans fin
N e soyons plus tristes, il
T e dit: "Sois bien, et ris !"

V erve et humour
E taient en toi
Y éti au nez de clown
S on énergie nous manque...

Laurent


Que dire face à une telle injustice?
Aucun mot ne peut exprimer ce que l'on ressent... un mélange de profonde tristesse et d'immense révolte...
Vincent, de là haut, continue à veiller sur tes 2 ptits bouts, sur ton épouse et tes proches. Donne leur la force de surmonter cette douloureuse épreuve.
Bon vent à toi...

Tes collègues AS de Bruxelles


A Vincent... cousin génial, oui c'est vrai : 'bon vent' et je veux te retrouver un jour.

A Nathalie, Félix et Arthur... prenez le temps et courage.

A Chantal, Catherine, Stéphanie... on pense à fond à vous.

Aux chanteurs de Canaldo... courage les gars, c'est vraiment Beau ce que vous avez vécu avec et pour Vincent.

Et puis... vraiment un tout grand merci au(x) webmaster(s) du site Canaldo. La troisième fois que Canaldo me fait vibrer dont deux fois en concert. Merci aux ami(e)s de Vincent (je pense ne connaître que Dax, chapeau mon vieux !) d'avoir trouvé la force pour partager les nouvelles. Malgré la souffrance, ça fait du bien de pleurer devant ces messages de réconfort.

Frauke et Benoît.


Hello Vincent,

Bon ben finalement t'as tiré ta révérence,

T'as eu droit à un requiem au seuil de la grande porte.
Les voix de tes potes, qui t'emportent, en soulignant la place que tu
laisses.

C'est sans doute là une part de notre humanité :
meme dans les moments les plus sombres
savoir dire "adieu" dans la dignité, la generosité, l'humilité.

Bien sur, ton départ comme ca, c'est moche, et c'est triste.
Je lis dans tous les mots de soutien, a quel point un sentiment
d'injustice étreint ceux qui t'aiment,
ceux qui veulent soutenir Nathalie, les enfants, les proches...
Il y a beaucoup de tristesse a partager...
J'ai l'impression qu'il y a beaucoup de monde qui serait pret a en
porter un kilo de tristesse,
si ca peut soulager ceux qu'elle écrase le plus...

Toi finalement, tu ne souffres plus.
C'est juste nous qui allons devoir continuer notre route
sur une planète qui va avoir pour un temps des couleurs d'Absurdie.

Puis avec le temps, et parce qu'on n'a pas le choix :
il nous faut accepter ce que l'on ne peut changer,
nous réparer et recoudre nos coeurs déchirés.

Si on sait y regarder,
la manière dont tu as vecu ta vie
contient le baume qui peut, avec le temps nous soulager :
sourire à la vie,
aimer,
etre foncièrement bon avec les autres,
avoir le coeur joyeux et chantant.

Si on sait t'emprunter ces vertus qui étaient les tiennes,
nul doute que l'on pourra se réchauffer les uns les autres,
que tes enfants pourront rire et rayonner,
que l'on pourra se souvenir de toi avec un grand sourire,
plutot qu'avec nos larmes et notre peine d'aujourd'hui.

Avec le temps...
...mais on y arrivera !

En attendant, que Dieu, ou le grand barreur, ou le grand mystère qui nous attend tous,
t'accueille dans sa chaleur et sa tendresse.
Roald


A Nathalie, Félix et Arthur,

Il n'y a pas de mots pour vous exprimer notre profonde tristesse.

Il y a une pensée de Victor Hugo qui me vient à l'esprit :
"Vivre est une chanson dont mourir est le refrain".
Vincent continuera à chanter pour ses trois trésors.
Il avait tellement de joie de vivre à partager.
Il restera présent pour tous ceux qui l'ont connu.

Nathalie, nous espérons te revoir avec tes petits bout'chous. Au Veersemeer
où nous nous sommes rencontrés en 2000 ou plus près, à Seneffe où tes
garçons, bientôt, pourront s'initier à la voile.

La famille Charlier est de tout coeur avec toi et tes proches.

Monique et Guy. Olivier, Vanessa et Nathan. Florence et David.


Pour Chantal, notre amie de très longue date,

Et toute sa famille


La petite vallée

La vallée change de teintes, au gré des heures, à la lumière du soleil ou
l’ombre des nuages.

La vallée change de couleurs et de formes au fil des saisons.

La vallée change d’horizon à chaque pas qui grimpe le long de ses versants.

C’est dans cette vallée que je vis, découvrant à chaque instant le monde,
mon petit monde, la vallée.

Parfois riante, parfois triste, tantôt chaude et amicale, tantôt dure, voire
cruelle.

Dans la vallée, je rencontre des visages, des sourires amis, des yeux
interrogateurs, j’entends des chants et des cris qui se mêlent à l’odeur des
feuillages mouillés et à la brume légère qui monte vers le ciel.

Dans la vallée, certains perdent leur temps à se battre, s’ignorer, se faire
mal. Dans la vallée, certains se parlent, au fil des rencontres, on se
raconte, on vit ensemble, on partage.

Chacun, dans la vallée, lève de temps en temps les yeux vers la crête, cette
barrière qui semble si loin et que pourtant chacun franchira un jour pour
passer de l’autre côté.

L’autre côté qui reste un mystère, monde où tout devient possible, où rêve
et imagination se mêle à la réalité.

On raconte alors…

Les uns évoquent des histoires du passé, remontées du fond de la mémoire,
enjolivant par ici, noircissant par là, mêlant peurs et espérances.

D’autres évoquent le futur en avouant leur interrogation et leur ignorance.

Quand la soirée descend et rassemble son petit monde autour d’un feu
bienveillant, on se retrouve alors à partager les mêmes reflets des flammes
dansant dans la prunelle des yeux.

Le ciel, si clair pendant la journée, est une grande voûte noire vers
laquelle s’envole la fumée blanche qui se perd dans l’ombre, comme la prière
silencieuse des hommes vers les étoiles.

Comme chacun, je rentre alors en moi-même, tentant de dénouer l’écheveau de
sentiments, dans mon coeur emmêlé. Tristesses ou joies, frustrations et
libérations, partages et solitudes, douleurs, plaisirs, sensations
d’injustice, interrogations, espérances, peurs de l’inconnu, éternité de
traits gravés dans ma mémoire, quand souvenir et avenir, confondus,
abolissent le temps.

Et je me dis que malgré la séparation quand on atteint le col et qu’on sort
de la vallée, il doit y avoir beaucoup de joie à découvrir l’horizon du
monde…

En mémoire de Vincent

5 mai 2005

Jimmy


Salut Vincent,

Il est des mots que l'on ne devrait jamais être obligé de dire à quelqu'un comme toi. Adieu en fait partie. Il résonne dans ma tête comme un gros mot.

Je garde et garderai toujours en mémoire tes bon mots, tes éclats de rire, tes colères aussi sur la bêtise humaine, ta sensibilité, ton ouverture aux autres et ton amour pour ta famille, ta femme et tes enfants de qui tu ne manquais jamais de nous raconter les exploits.

On se connaît depuis plusieurs années, et tu n'as jamais réussi à me décevoir. Honnête avec toi même et les autres, passionné et enthousiaste tu ne baisses jamais les bras. Tu trouves toujours un côté positif aux plus sombres problèmes.

Tu sais toujours profiter de ces petits instants de bonheur qui passent, de ce rayon de soleil qui pointe entre les nuages, de ces petits riens qui font la vie plus belle.

Je sais que tu n'aimeras pas cela, mais je suis triste, révolté et en colère.

Pourquoi toi ? Pourquoi maintenant ? Pourquoi ? Pourquoi ?

Je sens bien que tu vas me répondre "Yves, c'est comme ça mais on va se battre et ça va changer !", Mais cela va être plus dur sans toi.

Je sais que, par pudeur, on ne dit pas ces choses là. Mais il fallait bien à un moment que je te le dise :

"Vincent, tu es quelqu'un de bien et tu me (nous) manques."

Yves MARTIAL


Comme l'a dit un ami dans d'aussi tristes circonstances, la vie ça pique aux yeux...
On y a cru jusqu'au bout, car il s'est battu comme un chef, le Vincent.

Benjamin et moi tenons à exprimer toutes nos condoléances à tous les proches de Vincent, à Nath et à ses deux chtits bouts.

Toutes nos pensées émues sont avec vous.

Que la joie de vivre de Vincent nous porte au-delà de nous-mêmes au quotidien, dans toutes nos actions, dans toutes nos pensées, nous lui devons bien ça.
Merci beaucoup à lui pour tous ses éclats de rire.

On vous embrasse bien fort,
AF&Benji


Ce matin, j'écoutais canal'Do...
Quoi de plus normal que de se lever et de faire une ovation à l'artiste à la
fin de sa plus belle représentation !
Alors bravo Baboone,
Bravo pour toutes ces choses,
Ces joies, ces rires, ces émotions,
Que tu as su faire passer à tous,
Lors de ta plus belle représentation,
Ta vie...
Bravo et merci...

Hugues


Chers Vincent, Nathalie, Félix, Arthur;...et familles, proches, amis et amours de celui auquel nous pensons tous,

J' embrasse chacun chaleureusement.

Hier j'ai appris l'existence du site qui abrite ce message et immédiatement, j'ai pensé y faire figurer le magnifique texte qui suit , le faire-part m'y a encore encouragé.
Je l'avait lu aux funérailles de ma soeur ainée, Chritine qui est partie vers d'autres horizons le 27 décembre 2001, depuis lors à chaque départ, j'y repense, parce que j'y crois : l' Amour est une étendue infinie. Je pense même qu'il est LA clef de l'univers.
Voici ce texte que j' ai déjà réentendu quelques fois depuis, mais qui me semble plus neuf et fort à chaque fois:

Je suis debout au bord de la plage.
Un voilier passe dans la brise du matin,et part vers l'océan.
Il est la beauté, il est la vie...
Je le regarde
jusqu'à ce qu'il disparaisse à l'horizon;

Quelqu'un à mes côté dit: "il est parti".
Parti vers où?
Parti de mon regard, c'est tout!

Son mât est toujours aussi haut.
Sa coque a toujours la force de porter sa charge humaine.
Sa disparition totale de ma vue est en moi, pas en lui.

Et juste au moment où quelqu'un près de moi dit: "il est parti",
il y en a d'autres qui, le voyant poindre à l'horizon et venir vers eux,
s'exclament avec joie:
"Le voilà!".

Nathalie, Emilie, Raphaël, Florence et moi nous associons aux sentiments de profonde sympathie exprimés ici et ailleurs.Bises.Eric.


A l'épouse de Vincent, ses enfants et sa famille,

Depuis que j'ai appris l'horrible nouvelle cet après-midi, je revois sans cesse Vincent arriver à la Cafétéria de Partena, tenant son GSM d'une main et son journal de l'autre et nous saluant de son "bonjour, bonjour" .Tout en lisant "le ligueur" ou le "soir" Vincent ponctuait nos conversations de ses remarques toujours comiques. Vincent ta place sera toujours là et tu nous manques déjà beaucoup.

A ton épouse, tes enfants et ta famille, je leur présente mes plus sincères condoléances et qu'ils puissent trouver la force nécessaire pour traverser cette terrible épreuve.

Martine D. (service bénévolat Partena)


Je rentre du travail et je trouve sur le site le faire-part de décès... Il est à l'image de Vincent, aujourd'hui c'est lui qui nous tire vers le large, il nous emporte avec lui, dans la foi, dans l'espérance, dans la vie plus forte que tout ... merci Vincent de nous accompagner et d'offrir à tous ceux et celles, proches et moins proches, qui avons cheminé ces derniers jours à tes côtés force et courage pour continuer notre chemin ici-bas jusqu'au jour des retrouvailles.
Nathalie, Arthur et Félix, Mamichat , Stéphanie et Koen, Alice, Catherine et Vincent , Io et Nicolas sachez que vous êtes dans nos coeurs et nos prières ; que la chaîne de prière commencée pour Vincent ne se tarie pas... elle continue de vous - nous porter en ces jours.
Je vous embrasse bien fort ...
Valérie


Vincent,

Je suis très touché par la nouvelle de ton départ, et pourtant on ne
s'est pas rencontré souvent... Mais à chaque fois, j'ai été
impressionné, ravi et je dois dire charmé par ce qui se dégageait de
toi: une force tranquille, un charisme fou, une bonne humeur contagieuse.

Récemment papa d'un petit Romain, je suis d'autant plus remué en pensant
à ceux que tu laisses et qui ont tant besoin de toi, et j'aimerais tout
simplement leur exprimer ma plus profonde et sincère sympathie en ces
moments terriblement éprouvants. Puissent ces quelques mots vous
réchauffer quelque peu le coeur et vous donner courage.

Félix et Arthur, j'aimerais aussi partager avec vous ma conviction
intime que votre papa, même s'il n'est plus là physiquement, restera à
jamais présent dans votre coeur, et qu'il continuera à veiller sur vous,
d'une manière différente d'avant mais avec tout autant d'amour.

Marchy, Céline et Romain Marchal


Auprès de nous, un soleil s'est eteint
Loin de nous, une étoile vient de s'allumer.

Sincères condoleances à sa famille et à ses proches.

Xavier Vasseur


aurevoir vinvent
toute ton énergie, celle de ta famille de tes amis n'a pas suffit
même parti tu resteras là avec ton sourire, ta bonne humeur, ton humour
même parti ton souci de justice ,d'équité, ton respect des autres et ta solidatité et ton énergie pour la transmettre autour de toi seront toujours présents
en tous cas pour moi tous les moments que nous avons passés et souvent dans des négociations difficilles resteront ancrés

nathalie
même si on ne se connait guère , même si nous ne nous sommes pas vues souvent
n'hésite pas si tu as besoin de quoi que ce soit
passe par jonathan n'hésite pas
bon courage tiens le coup avec tes enfants

à toute la famille et aux amis plus intimes de vincent et nathalie, je vous présente mes très sincères condoléances

patricia piette (permanent à la cne et maman de jonathan vanpeteghem)
j'espère que cette fois ce message vous parviendra